Ce niyama nous invite à être satisfait, peu importe la situation.
Il s’agit ici d’être heureux de ce qu’on a, même si on n’a pas tout ce qu’on voudrait, sans se comparer aux autres et sans avoir peur de perdre ce que l’on a.
« Le contentement apporte le bonheur durable »
Attention, il y a une différence tangible entre « se contenter de » et « être content car ».
Dans le premier cas, on abandonne l’idée d’avoir mieux ; dans le second cas, on ne cherche pas à avoir mieux, car on est amoureux de sa vie.
Le contentement permet de garder une paix intérieure malgré les évènements extérieurs.
Ce niyama nous apprend à différencier ce qui dépend de nous ou non ; et nous invite à mettre l’accent sur nos actions plutôt que sur les résultats. Accomplir le meilleur de soi, sans attentes.
Robert Louis Stevenson, écrivain du 19ème siècle, disait
« l’important, ce n’est pas la destination, c’est le voyage »
Cette phrase illustre bien le contentement : l’important n’est pas le résultat final, mais la manière dont on a vécu le cheminement.
En mettant en place ce niyama, on se libère de la sensation de manque et de la volonté d’obtenir.
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